Entrevue avant-série avec les Capitals

Matt Vita, le rédacteur sportif du Washington Post, s'est entretenu avec le DG des Capitals de Washington, surnommé Nadouest.

Il a posé plusieurs questions. La première était:

Nadouest, tu n'as failli pas faire les séries cette année. Que dis-tu à propos de ça?

Nadouest: Eh bien, dans l'est, la course pour les séries est très serrée, car l'est est beaucoup plus fort que l'ouest. Ça a été difficile pour moi de me tailler une place en séries, mais j'ai réussi à y parvenir.

Matt: Je suis heureux que notre équipe locale revienne encore dans la course pour la coupe Stanley. Maintenant, parlons de vos jeunes. Nichuskin, Santini, Koekkoek, Walsh et Butcher et Vasilevski qui se préparent à intégrer les pros, et, votre jeune joueur le plus impressionant, Sörensen, que vous avez eu lors d'une échange avec les surprenants Hurricanes de la Caroline impliquant le grand défenseur Mike Green. Sörensen a 21 ans, et il a déja presque le talent d'une superstar. Que pensez-vous de vos jeunes?

Nadouest: Honnêtement, ils m'impressionent beaucoup. Leur talent, leurs efforts, tout cela, ça m'épate. Je n'aurais jamais pu demander mieux.

Matt: L'année passée, vous avez du vous départir de deux très bons vétérans, Martin St-Louis et Daniel Alfredsson, ce qui a créé une importante perte de lead. On se sent comment après s'être départi de ces deux joueurs très importants?

Nadouest: Mal, mais il faut se dire aussi que ces joueurs sont vieux, et que de toute façon, ils allaient bientôt prendre leur retraite. Alfredsson l'a déjà fait. Au moins, ces joueurs seront heureux d'avoir passé une aussi bonne carrière dans la LNH.

Matt: Une dernière question: Voulez-vous encore bâtir votre équipe? Si oui, qu'est-ce que vous recherchez?

Nadouest: Oui, je veux encore rebâtir mon équipe. Je recherche un bon centre complet qui ne coûte pas cher, qui se bat souvent et qui peut donner des mises en échec percutantes, dans le style de Brad Malone sur Dustin Byfuglien, si vous voyez ce que veut dire.

Matt: Totalement, M. Nadouest. Merci d'avoir pris la peine de nous accueillir, c'est très apprécié!

Nadouest: De rien, M. Vita! Au plaisir de vous revoir!